Flash n°348 - Février 2002
Prochaines réunions :
Les dimanches 17 février et 3
mars
2002
De 9 h 30 à 11 h 30. – Local : Centre Culturel, rue J.Hans, 4
Madame Jean - Marie Frenay, ses enfants et petits enfants tiennent à
remercier tout spécialement tous les membres du Club Philatélique
Brainois pour leur présence, pour les belles fleurs offertes, mais
surtout pour toute l'affection que mon époux tant
aimé a reçue de vous tous.
Très sincèrement
En direct du Secrétariat
Le " BEF " a vécu !
Sur nos timbres-poste, il a pris fin avec Tintin ( Timbre et
bloc-feuillet ) le 31 décembre 2001, cette pré-vente a recueilli un
succès considérable, si l'on en croit la délégation brainoise qui
s'est rendue à Malines ce jour là. ( +/- 3 heures de file avant
d'être servi ! )
L'Euro a fait son entrée plus sereinement le 1er janvier 2002 sur
les 2 timbres Albert II. Ce passage à l' Euro ( € ) pose pas mal de
questions à nos philatélistes.
Bourse philatélique 2002.
Le Club se montre optimiste et organise le 6 avril 2002 une
bourse à Ophain ( salle communale ), les membres en règle de
cotisation peuvent disposer gratuitement d'un emplacement pour
autant qu'ils en fassent la demande au secrétariat le plus vite
possible. Nous espérons que cette bourse permettra à chacun
d'entre-nous de réaliser d'excellentes opérations et que la
philatélie brainoise sera une fois de plus mise à l'honneur dans le
Brabant.
Des informations complémentaires paraîtront dans nos prochains
Flash.
JEUX – CONCOURS
Réponses à la troisième épreuve.
(Flash 346)
346.1
Les termes philatéliques suivants se trouvaient dans la grille
proposée :
Prévente - Vente - Philatélie - Philatelies - Poste - Poster -
Ovale - Emission
-Emissions - Pince - Bloc - Affranchir - Affranchirs - Franc -
Album - Carnet - Oblitere - Obliterer - Loupe - Valeur
Seniors :
346.2 Il s’agit de
Hubert Frère Orban, il fonda en 1850 la Banque Nationale de
Belgique et en 1860 le
Crédit Communal de Belgique.Timbres
n° 1781 et 1159/1162.
346.3 Il s’agit d'
un pneu éclaté, est représenté sur le timbre 1255 V1
Juniors :
346.2 Il s’agit de
Vincent Van Gogh – Timbre n° 1725
346.3 Il s’agit de
Guillaume de Nassau – Timbre n° 1824
Résultats de la troisième épreuve 2002.
Ont obtenu :
Seniors
Juniors
Bourgeois M.
28
points (
87 ) 26 points :
Verhelle Iris (
66 )
Cornet H.
28
„
( 87 )
22 "
Verhelle M.
( 62 )
Cotton L .
27
“
( 86 )
0 "
La Roche M. ( 40 )
Flamand Ch. 21
‘’
( 75 )
Cotton W.
27
‘’
( 77 )
Lambert M.
27
‘’
( 75 )
Pays M.
27
‘’
( 75 )
Aeck R.
27
"
( 74 )
Catteuw R.
26
‘’
( 73 )
Lambert C.
28
‘’
( 69 )
JEU-CONCOURS – Epreuve 5 / 2002
Seniors - 3 x 10 points
348.1 Mon
œuvre se trouve dans le musée d'Israël. Quelle est cette œuvre ? et
sur quel timbre - poste est-elle représentée ?
348.2 Mon oeuvre
s'appelle " La Résignation ", qui suis-je ? et sur quel timbre-poste
est-elle représentée ?
348.3 Un de mes
homonymes était un conteur de fables et moi, je suis décédé, il y a
59 ans. Qui suis-je ? et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
Juniors - 3 x 10 points
348.1 Cet
instrument se trouve dans une église à Bastogne. De quoi s'agit-il ?
et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
348.2 J'étais
missionnaire chez les Pères Picpus.
Qui suis-je ? et sur quel timbre-poste suis-je représenté ?
348.3 Nous sommes
un groupe de rock et représentés sur un timbre.
Lequel ? et qui sommes-nous ?
Les réponses sont à remettre au plus tard le 3 mars 2002, lors de
notre réunion, ou à envoyer au Président :
R. Duhamel
Avenue des Erables, 14
1420 Braine-l’Alleud
Lu pour vous ….
Timbres Magazine – n° 19 – Décembre 2001
-
Passion
Noëls de guerre
- Découverte
Hongkong ne dort jamais
- Aérophilatélie
L’aventure Air Bleu
- Histoire
Nobel, un sujet explosif
L’île de Pâques
L’ A.P.N.U. souffle ses 50 bougies
Aramis – Croiseur français torpillé sous pavillon japonais
- Curiosité
L’affaire de la vignette de Valenciennes
- Régionalisme
L’ Ain
- Cartes postales
Les bons vœux de Robert Doisneau
Timbres Magazine – n° 20 – Janvier 2002
-
Passion
Victor Hugo : l’histoire inédite de son 1er timbre
- Histoire
Un siècle de prix Nobel français
Reflets de la France des années 30
Indochine. De Lattre : une épopée indochinoise
Ex – colonies : Etonnants non émis de Madagascar
Hongrie : Qui veut collectionner des millions ?
Carte de renseignement de Croix – Rouge polonaise
- Thématique
La paléontologie, mémoire de la Terre
- Aérophilatélie
Le pilote du Négus
- Régionalisme
La petite poste de Lyon
- Cartes postales
Victor Hugo à l’honneur
VIENT DE
PARAÏTRE
Collect British Stamps 2002
La 53e édition de ce qui est sans doute le catalogue le plus
populaire des Editions Stanley Gibbons vient d’être complètement
remaniée tant au niveau de la mise en page que de l’introduction de
la couleur pour toutes les reproductions. La teinte de fond en bleu
très clair, au lieu de gris, apporte un certain confort de lecture.
Ce catalogue simplifié de 184 pages sous reliure souple ( 194 x 164
mm) traite exclusivement des timbres britanniques des origines à nos
jours. Prix : 8 £ 50
Les Vikings dans l’Atlantique
Il
est évident que la navigation est née dans les zones côtières et
dans les archipels où l’eau constitue un lien. Dans de telles
sociétés, le bateau est une nécessité. Ceci est aussi valable pour
les îles de l’ Atlantique Nord : les Shetland, les Féroé et l’
Islande.
La diversification de ces sociétés ‘’ au fil de l’eau ‘’, a
naturellement entraîné la conception de bateaux différents. Selon un
vieux dicton, ‘’ le Féroïen est né une rame à la main ‘’.
Dans l’archipel féroïen, situé dans le capricieux Atlantique Nord et
composé de 18 îles, le bateau a toujours été indispensable et
autrefois même vital. Le navire féroïen est spécialement conçu pour
son environnement : des montagnes coupées de détroits exigus avec un
vent inconstant.
Les
Sagas islandaises du début du Moyen Âge contiennent de nombreux
témoignages de voyages en mer. On y parle du temps et du vent, mais
peu de la navigation proprement dite. Nous savons que le compas
magnétique apparaît seulement au début du XIIIe siècle en Europe.
Comment naviguait-on auparavant dans le Nord ? Les Vikings
remettaient leur départ dans l’attente d’une météo et de vents
propices. Ensuite, ils utilisaient toutes sortes de formations
naturelles pour se repérer : une île, une embouchure de fleuve, une
forêt, un arbre caractéristique … Ils étaient attentifs au passage
des oiseaux et des animaux de la mer. Ils observaient la teinte de
la mer et ses changements, la houle et les courants, les formations
de nuages – même les odeurs et les bruits pouvaient les aider.
Un grand voyage en mer sans escale nécessite pourtant de la
navigation. Il fallait donc tenir le cap à l’aide des astres et des
points cardinaux. Les Vikings disposaient peut-être d’un compas de
relèvement. Grâce au soleil et à l’ombre projetée par un bâton sur
un disque, il
était possible de mesurer la hauteur du soleil et de choisir un cap.
Un autre outil probable était une ‘’ pierre de soleil ‘’. C’était un
quartz noir qui réfractait les rayons du
soleil et permettait de connaître l’orientation du soleil,
même par temps voilé.
Les Vikings, dans leur recherche d’informations précieuses,
excellaient dans l’art d’interpréter la nature. Nous avons
malheureusement perdu cette capacité dans notre société
technologique actuelle. La plus ancienne carte de l’ Atlantique Nord
est celle nommée ‘’ Skalholt ‘’, dressée en 1590 par
l’Islandais Sigurdur Stefansson. Elle montre l’Atlantique Nord avec
ses îles et ses archipels.
Il existe deux types principaux de bateaux vikings : le vaisseau long / bateau de guerre et le bateau de commerce, mais il y a évidemment des nuances. L’apparence d’un bateau a toujours reflété les ressources naturelles disponibles, les caprices de la mer sur laquelle il navigue – et les besoins, l’expérience et l’imagination de l’homme. Un bateau devient ainsi le produit d’une société, avec ses structures sociales et économiques, ses traditions, sa maîtrise technique, son sens esthétique et son développement.
Le drakkar est un bateau à l’arrière pointu et à la proue pointée
vers le haut. L’avant et l’arrière sont d’ailleurs assez semblables.
C’est un bateau à voiles avec un assemblage à clins, un gouvernail
latéral, un mât et un gréement doté d’une voile en laine. Nous le
savons grâce aux découvertes d’Oseberg et de Gokstad en Norvège et
de Roskilde au Danemark, il y a même eu des découvertes en Suède.
Les
vaisseaux longs découverts
mesuraient de 16 à 36 mètres. Les plus grands pouvaient accueillir
un équipage d’environ 100 hommes, dont 78 rameurs.
Les bateaux de commerce étaient plus rapides, avec leur équipage de
6 à 12 hommes. Les Vikings norvégiens qui faisaient route vers
l’ouest, comme par exemple le drakkar ‘’ Skuldelev ‘’ se
dirigeant vers les îles Féroé, apportaient également avec eux une
cargaison culturelle : leur langue et leurs traditions artisanales,
que nous pouvons apprécier aujourd’hui.
Le drakkar a toujours été un objet d’attirance et de fascination. Sa
beauté a souvent été célébrée – et ses expéditions sont célèbres.
FLASH – JUNIOR
Collectionner des timbres-poste - Quelques aspects !
MORPHOLOGIE DU TIMBRE - POSTE
Identifier
un timbre, c’est déterminer son pays d’origine, la date d’émission,
ce qu’il représente, s’il appartient à une série ; C’est donc savoir
lire les inscriptions qu’il porte, son dessin, sa monnaie, etc. Ce
n’est pas toujours facile. Mais l’expérience, la mémoire visuelle,
les catalogues, les conseils aident à vaincre ces difficultés.
Le
pays d’origine est le plus souvent inscrit sur le timbre. Avec
l’alphabet latin, pas de difficulté de lecture, mais il n’en va pas
de même avec les caractères asiatiques, arabes, cyrilliques,
hébreux, grecs, gaéliques, etc. Entre collectionneurs et en
consultant des ouvrages spécialisés, on doit pouvoir passer ces
obstacles. En Grande-Bretagne, seul le profil du souverain régnant
permet d’identifier le pays.
FORME
Bien qu’elles soient généralement rectangulaires, les vignettes
postales peuvent se rencontrer sous des formes géométriques les plus
diverses : carrée, triangulaire, hexagonale, trapézoïdale, ronde,
etc. Il y a des timbres dont la forme épouse les contours
géographiques du pays émetteur, des timbres en forme de banane, etc.
NON DENTELéS ET DENTELES
Les timbres se présentent non dentelés ou dentelés, selon leur mode
de débitage.
Les non dentelés, ( il s’agit surtout des timbres anciens ) doivent
avoir leur image entourée de bords réguliers ( marge ) plus ou moins
larges selon la disposition des timbres dans la feuille.
Les timbres
dentelés doivent avoir leur dentelure intacte et être bien centrés,
c’est-à-dire avoir leur image à
égale
distance des bords.
NEUFS
OU OBLITERES
Quant à leur état, les timbres-poste se collectionnent à l’état neuf
ou oblitéré, en ensembles ( paire, bande, blocs, etc.) ou sur
document.
Aujourd’hui, pour conserver
toute leur valeur marchande, les timbres neufs doivent non seulement
être d’une grande
fraîcheur, mais en outre avoir leur gomme originale intacte, sans
trace de charnière. ( On peut épiloguer sur cette exigence, il n’en
reste pas moins que c’est la réalité du marché ).
Les timbres oblitérés doivent avoir une oblitération nette, couvrant
tout ou partie du timbre, selon la nature de la collection (
collection d’étude, spécialisée, marcophile, thématique ).
Le timbre oblitéré idéal : bien dentelé, bien centré, une
oblitération lisible, centrale, droite et respectant l’effigie.
Donner la préférence aux timbres où le regard n’est pas masqué.
L’oblitération temporaire
Un grand principe :
RESPECTER LE PLI DANS SON ENTIèRETé
Mai SI, sur le pli, il n'y a aucune autre marque postale ( soit
manuelle, soit mécanique ) que l'oblitération ET que celle-ci
est complètement lisible sur le timbre, l'on pourra, à la rigueur,
se permettre de décoller le timbre.
Je pourrai me permettre, par exemple, de décoller ces deux timbres
de leur support s'il n'y a aucune
autre marque postale sur le document complet.
Mais souvent l'oblitération porte, à la fois, sur le timbre et sur
le document. Dès lors, SI, sur le pli, il n'y a pas d'autre marque
postale, l'on pourra éventuellement découper un FRAGMENT.
En effet, il serait regrettable de décoller ces deux timbres car l'essentiel de la marque postale resterait dans le bac à eau et l'on perdrait définitivement un élément philatélique susceptible d'illustrer le thème.
Conservons donc ce genre d'oblitérations sur des FRAGMENTS.
Voici donc un exemple de fragment susceptible d'agrémenter une
collection thématique sur le football.
Ces oblitérations sur fragment sont donc des éléments de choix pour
notre collection.
Ne les négligeons pas.
DOSSIER
Notice historique sur le Service des Paquebots de l’Etat Belge entre Ostende et Douvres.
L’établissement de communications postales directes entre la
Belgique et l’Angleterre remonte au 8 avril 1815 ; mais l’on ne
possède pas de renseignements certains sur l’organisation de ce
premier service, qui s’effectuait au moyen de navires à voiles.
Une convention, conclue le 6 octobre 1818 entre les Pays – Bas et
l’Angleterre, stipula qu’il y aurait deux communications par
semaine, tant de Harwich à Hellevoet-Sluys (Hollande) que de Douvres
à Ostende. La séparation de la Belgique et de la Hollande n’amena
aucun changement dans cette organisation, qui fut maintenue jusqu’à
la conclusion de la convention du 17 octobre 1834 entre la Belgique
et l’Angleterre, convention d’après laquelle, moyennant un subside
annuel de 1.000 livres sterling à payer par l’Administration belge,
le « Postmaster General » prenait à sa charge le transport, par mer,
du courrier, tant à l’aller qu’au retour.
Mais ce fut lors de la mise en exploitation du chemin de fer Ostende
– Bruxelles, en 1838, que se révéla la nécessité d’établir entre la
Belgique et l’Angleterre un service régulier et plus rapide que
celui qui existait à cette époque et qui laissait à désirer.
Quelques navires du Gouvernement anglais assuraient seuls les
cmmunictions postales entre les deux pays ; quatre départs avaient
lieu hebdomadairement dans chaque sens entre Ostende et Douvres et
la traversée durait de cinq à sept heures.
La construction du chemin de fer Douvres – Londres, terminée en 1841, stimula davantage encore notre Gouvernement, qui désigna une commission chargée d’étudier l’organisation d’un service exclusivement belge de bateaux à vapeur.
Ce ne fut cependant qu’après le vote de la loi du 9 juillet 1845 que furent décidées la construction de navire à vapeur et l’organisation d’un service quotidien exploité par l’Etat belge, qui devait former le complèment indispensable de nos voies ferrées.
En 1845, le premier bateau belge, qui devait servir de type, fut
commandé à une firme anglaise. Il fut baptisé ‘’ Le Chemin de fer
‘’, mais reçut plus tard le nom de ‘’ Diamant ’’.
La Société Cockerill construisit les deux bateaux, le ‘’ Ville
d’Ostende ‘’ et le ‘’ Ville de Bruges ‘’, dénommés dans la suite ‘’
Rubis ‘’ et ‘’ Topaze ‘’.
Achevé en février 1846, le ‘’ Diamant ‘’ fut mis en ligne le 3 mars
suivant. Il fit régulièrement, à partir de cette date deux voyages
par semaine entre Ostende et Douvres. Durant cette année, il
transporta 4.548 passagers.
Le ‘’ Ville d’Ostende ‘’, livré le 3 août 1847, entra en ligne le 23
du même mois. A dater de ce jour, le service devient journalier dans
les deux sens : les 2 bateaux belges font 6 traversées par semaine
et les bateaux anglais n’en font plus que 8. Le nombre de voyageurs
transportés en 1847 par nos deux steamers s’élève à 7.980.
Le transit postal prenait également de l’extension ; aussi le
Gouvernement belge, pénétré de l’intérêt qu’offrait pour le pays
cette ligne directe de communication avec la Grande – Bretagne et la
nécessité de renoncer à l’intervention étrangère, s’attacha à
organiser un service exclusivement belge.
Le ‘’ Ville de
Bruges ‘’, deuxième bateau commandé à la Société Cockerill, est
livré
à la fin de 1847 et prend la place du ‘’ Chemin de fer ‘’ qui
doit subir des travaux importants.
Dès novembre 1848, l’Etat renforce sa flottille par l’Emeraude ;
les bateaux belges assurent 8 traversées par semaine et les
bateaux anglais 6.
Les voyages s’effectuaient de nuit. Le service fut maintenu dans ces
conditions pendant plus d’une dizaine d’années au cours desquelles
l’ Amirauté anglaise confia à un société privée la partie du service
qui lui incombait. Mais à partir de 1858, cette société éprouva
d’assez graves difficultés dans l’exécution de son contrat, qui
expirait en 1863. Notre Gouvernement conçut, dès lors, le projet
d’assurer lui-même toutes les communications et d’établir, en outre,
un service de jour, afin notamment d’accélérer le transport des
correspondances postales.
A
cette fin, la construction d’un cinquième bateau fut décidée et la
commande en fut passée à la Société Cockerill. Cette nouvelle unité
fut achevée en 1862 et reçut le nom de ‘’
Belgique
‘’. Mais pour effectuer quatre traversées quotidiennes, une de jour
et une de nuit dans chaque sens, sept bateaux étaient
indispensables. Il fallut donc prendre provisoirement en location
deux steamers, le ‘’
Scud ‘’ et
le ‘’ Princess
Clémentine ‘’, appartenant aux Compagnies anglaises London
Chatham et South Eastern Railways, qui furent remplacés l’année
suivante par le ‘’
Queen of the
French ‘’ et le ‘’John
Penn ‘’, achetés aux mêmes Compagnies et qui prirent
respectivement les noms de ‘’
Saphir ‘’
et ‘’ Perle
‘’.
Il y avait donc, en 1863, pour assurer deux services journaliers
dans chaque sens, sept navires en ligne. Les débuts de la ligne
Ostende – Douvres furent pénibles et, pendant près de 20 ans, les
progrès assez lents ; mais à partir de 1866, la situation s’améliore
rapidement ; la période de difficultés a pris fin et le Gouvernement
n’hésite pas à aller résolument de l’avant.
Le moment était arrivé où le matériel flottant, démodé et
insuffisant, devait être complètement renouvelé.
Sept bateaux, plus grands et plus rapides, furent successivement
commandés à la Société Cockerill. Ce fut d’abord le ‘’
Louise – Marie
‘’, achevé en 1867 et qui servit de type pour les six autres
navires construits à la même époque.
Pour la période de 1873 à 1881, aucun fait important n’est à
signaler. Cependant, des lignes concurrentes s’étant établies, le
service belge était exposé à péricliter et de nouveaux sacrifices
s’imposaient pour assurer plus de rapidité aux communications et
plus de confort aux voyageurs.
En 1862, l’organisation commerciale du service fut remaniée et les
tarifs de transport furent réduits.
(
à suivre … )
Autriche
- Programme 2002
Janvier
5 val
Vacances en Autriche
1 bf
L’arrivée de l’Euro en tant que monnaie courante
Février
1 val
Les Jeux Olympiques d’hiver 2002
1 val
Bouquet de fleurs
Mars
1 val
‘ Philis ‘ – 1ère valeur
1 val
Journée de la femme
Avril
1 val
‘ Philis ‘ – 2ème valeur
1 val
Love – amour
1 val
Le 125ème anniversaire de la naissance d’Alfred Kubin
Mai
1 val
Europa 2002
1 val
Mimi
1 val
‘ Philis ‘ – 3ème valeur
1 val
Les 800 ans du monastère de Lilienfeld ( Basse-Autriche)
1 bf
Journée du Timbre
Juin
1 bf
Les 250 ans du Jardin zoologique de Schönbrunn (Vienne)
4 val
Idem
1 val
Nounours
1 val
Design Austria – 1ère valeur
1 val
Artisanat à l’ancienne ‘ Coupe de verre ‘
Septembre 1 val
Festival d’art et de musique électroniques
1 val
Le nouveau musée d’art contemporain de Vienne
1 val
Voiture ancienne
1 val
Motocycles ‘ Puch 125 ‘
1 val
Clown Docteurs
Octobre 1
val Animaux
domestiques ‘ Le chien ‘
1 val
L’art contemporain en Autriche – 28ème valeur
1 val
Chemins de fer – 1ère valeur
1 val
La réserve naturelle nationale Thayatal
Novembre 1 val
Design Austria – 2ème valeur
1 val
Caritas
1 val
Les Autrichiens vivant à l’étranger
1 val
Noël.
NB : Le programme est sujet à modification et à adjonction.
NATIONS UNIES -
Programme 2002
1er
Mars Série
ordinaire et entiers postaux ( série de janvier reportée )
4 avril Espèces
menacées d’extinction
24 mai Année
internationale de la montagne
27 juin ONUSIDA
30 août Patrimoine
mondial – Italie
Septembre Sommet
Planète terre + 10
7 novembre Voeux
REALISATIONS INTER-MEMBRES et l’EURO (€)
Nouvelles directives avec le passage à l’EURO
- Ventes aux
enchères.
- Tout lot dont le prix de départ, calculé sur base de la cote
catalogue à maximum soit +/- 40 %
qui n’atteint pas 1 EURO n’est pas admis à la vente.
- Les surenchères
seront dorénavant les suivantes :
de 1 € à 10 €
=
0,25 €
+ de 10 € à 25 €
=
0,50 €
+ de 25 € à 50 €
=
1,00 €
+ de 50 € à 100 €
=
2,00 €
+ de 100 € à 250 €
=
5,00 €
+ de 250 €
=
10,00 €
Les vendeurs sont tenus de ne pas afficher des prix de départ dont
les CENTS sont autres que 0 et 5.
Exemples :
correct
= 1,60 € -
1,75 €
- 8,30 €
Incorrect
= 1,62 € -
1,78 € -
8,96 €
Les prix incorrect seront rectifiés d’office par le
Responsable des ventes.
VENTES " DIRECTES " et aux " ENCHÈRES
"
Les lots invendus à ce jour, présentés par nos membres seront dès la
prochaine réunion, soit le 17 février 2002, remis à ceux-ci pour
conversion des cotes et prix en EURO mais aussi pour modification
éventuelle des prix de départ compte tenu d’un marché " vendeur ".
RÉALISATION INTER - CERCLES DE L’AMICALE DES CERCLES DU BRABANT
WALLON
Les membres qui désirent présenter des lots pour cette manifestation
sont priés de retirer les documents ad hoc auprès du service
matériel.
La date de remise des lots vous sera communiquée prochainement.
Les articles ci-dessus peuvent
être reproduits avec mention de la source et avis favorable du
Club Philatélique Brainois. Envoyer une copie de la publication
au président.