Flash n°362 - Mai 2003
Pas si ‘’ Timbrés ‘’ que ça, les
philatélistes du C.P.B. !
D’autres amis du Club en ont fait l’expérience avant moi : le
bénévole n’est pas une
espèce en voie de disparition !
La
preuve ? Pendant trois semaines, il s’est rarement passé un jour
sans l’aide motorisée, bénévole et amicale de l’un (e) ou l’autre
membre et ami (e) du C.P.B. Cette aide a permis à mon épouse de
faire la navette domicile-hôpital, lui épargnant ainsi une fatigue
supplémentaire. Elle vous en est extrêmement reconnaissante.
D’autre part, il m’est impossible de compter le nombre de visites et
de coups de téléphone reçus
pendant ce séjour ‘’ hospitalier ‘’ et même, actuellement
encore, pendant ma convalescence ; chers Amis, vous vous êtes
succédé à un rythme soutenu et votre présence amicale fut, pour ma
femme et pour moi, un immense réconfort.
On
dit que le bon moral d’un patient conditionne sa remise sur pieds
pour 50% : alors, je suis en bonne voie !
Merci à tous, du fond du cœur.
J. Pleunes
DOSSIER
En
général les revues et publications philatéliques que nous trouvons
chez les libraires sont françaises et les différents sujets abordés
concernent les timbres de France et de ses ex-colonies. Pour nous
collectionneurs belges nous avons rarement l’occasion de pouvoir
enrichir nos connaissances sur les émissions de Belgique.
Nous pensons que certaines émissions doivent être reprises et que
par la lecture de nombreuses publications anciennes de philatélistes
disparus il est intéressant de compiler les différents articles
parus afin d’informer les nouveaux philatélistes ou de rafraichir la
mémoire d’autres.
Nous publierons donc le résumé des informations et données qu’il
nous a été possible de lire.
Les retouches des
Médaillons non dentelés de Belgique
La gravure de nos
premières émssions de Belgique présente de nombreuses variétés qui
sont un élément d’étude précieux dans le travail de reconstitution
des planches. Leur grand nombre et leur diversité facilitent
l’identification de beaucoup d’exemplaires par l’établissement de
caractéristiques propres à chacun d’eux.
Qu’il nous soit permis de dire ici quelques mots au sujet des termes
‘’variétés’’ et ‘’curiosités’’ que d’aucuns confondent si souvent
et, donnons aux timbres qui entrent dans l’une ou l’autre de ces
catégories, la valeur réelle qu’ils méritent.
Si le timbre
examiné attire notre attention par un aspect anormal de son dessin,
nous sommes en présence soit d’une variété, soit d’une curiosité.
L’anomalie sera variété si elle émane de la planche ; elle sera
curiosité si elle émane de tout autre facteur : impression, papier,
accident de manipulation des feuilles, etc.
Nous en déduisons immédiatement que les variétés, relevant de la
planche sont des anomalies constantes, alors que les curiosités,
relevant de la feuille, sont des anomalies non constantes. Les
premières offrent un intérêt capital, étant le plus sûr garant de
l’identification des types de la planche ; les secondes un intérêt
presque nul, à moins que par l’emploi d’encre, de papier ou
d’outillage déterminés, leur apparition souvent renouvelée à une
même époque, ne soit l’indice ou la confirmation d’une date.
La valeur au point de vue rareté se conçoit aisément : pour les
variétés, elle est fonction du nombre d’exemplaires tirés et
subsistants ainsi que la date d’apparition de la variété sur la
planche ; pour les curiosités, elle est indéterminable, puisque
chacune d’elles est ‘’unique’’ !
Remarquons en passant qu’il n’y aurait lieu, pour ces dernières,
d’établir une classification sérieuse au sujet de la valeur à leur
attribuer, en se basant sur le facteur, qui les a produites,
l’importance de l’aspect qu’elles offrent ou le léger appoint de
documentation qu’elles représentent.
Dans nos
timbres dits ‘’ Médaillons ‘’, les variétés sont de trois espèces :
-
doubles frappes
-
retouches
-
accidents.
Parmi
ces dernièrs, les griffes, conséquences probables de la révision et
de l’ébarbage de la planche après la frappe, sont les plus
nombreuses et, certaines planches en sont abondamment sillonnées.
Quant
aux doubles-frappes, à l’encontre de ce que l’on peut observer dans
les timbres au type épaulettes, où, la planche I du 10 c. en
comporte une douzaine, l’ensemble des planches de médaillons ne nous
en montre qu’une seule : le n° 1 de la planche I du 10 c de 1850,
connue sous le nom de ‘’
doubles chiffres
‘’. Mais
laissons ces deux catégories pour ne nous occuper que des retouches
qui font l’objet de ce dossier.
A leur
tour elles peuvent être de deux espèces : celles nécessitées par un
dessin mal venu à la frappe de la planche et effectuées par le
graveur avant l’emploi de cette dernière, et celle nécessitées par
l’usure, conséquence d’un très grand tirage.
En ce
qui concerne les médaillons non dentelés de Belgique, les retouches
d’usure doivent être bien rares, si pas inexistantes, et cette
pléiade d’admirables retouches des feuillages, comme ces repiquages
des cadres d’une foule d’exemplaires, sont bien des retouches de la
première catégorie, c’est-à-dire nécessitées par une frappe
défectueuse. De nombreuses lettres sur lesquelles figurent des
timbres retouchés, en témoignent, étant datées du jour de l’émission
ou des jours suivants.
Il est
évident que pour distinguer facilement les timbres retouchés de ceux
qui ne le sont pas, il faut avant tout connaître l’aspect qu’offre
dans tous ses détails le timbre normal.
A cet
égard, les timbres tirés sur la première planche de chacune des
trois valeurs 10, 20 et 40 c., nous montrent un dessin admirablement
net et bien venu à la frappe et peuvent donc être examinés avec
intérêt. Il est vrai qu’il faut pour cela être à même de reconnaître
les timbres qui proviennentde ces planches ! aussi ne retenons pas
ce critère exclusivement, d’autant plus que si presque tous ces
exemplaires sont parfaits de gravure, quelques-uns pourtant ont
nécessité de légères retouches qui pourraient entacher l’étude
d’erreurs.
Il y
lieu donc de comparer la gravure originale au moyen des
réimpressions effectuées sur le coin, non seulement leur grande
finesse permet un examen des moindres détails, mais encore révèle
certaines défectuosités qui, nécessairement, se retrouvent sur tous
les exemplaires et qu’il y a lieu de ne pas confondre avec les
variétés.
Sans
essayer d’établir un classement des retouches suivant les planches
dont elles émanent, examinons quand même les plus caractéristiques
d’entre-elles.
Le dessin des timbres qui nous occupent peut se diviser en deux
parties, délimitées par l’ovale blanc central dont la présence à
fait donner le nom de ‘’Médaillons’’ à nos émissions de 1850 à
1863 : la partie intra-ovalaire qui, à de très rares exceptions près
n’est jamais retouchée, et la partie extra-ovalaire qui, pour
certaines planches tout au moins, l’est presque toujours.
Dans la partie centrale, c’est le fond seul que nous voyons parfois
retouché car il serait prématuré de classer parmi les retouches, la
ligne courbe qui délimite le nez dans la seule variété de l’effigie
que nous avons rencontrée : un 10 c. de la planche IV de 1856.
La partie extra-ovalaire, au contraire, fourmille de retouches qui
toujours portent sur les cadres, le fond et les feuillages. A part
un cas, cité plus loin, jamais jusqu’à ce jour nous n’en avons
observées sur les chiffres, le mot ‘’Poste’’, et les mots indiquant
la valeur. Ce fait doit probablement être attribué à la profondeur
plus grande des traits de gravure de ces parties, ce qui a permis au
dessin de mieux s’accuser à la frappe.
Par contre , la retouche des cadres, du fond et des feuillages est à
ce point fréquente que pour certaines planches – les planches II et
V du 20 c. – on peut quasi affirmer que pas un seul exemplaire n’y a
échappé !
Si nous examinons les cadres, nous constatons qu’ils sont presque
tous refaits ! Mais quelle que fût l’habilité du graveur dans le
maniement de son burin, il n’a pu éviter cette infinité de petits
riens accidentels, qui à eux seuls, suffisent à l’identification
d’un grand nombre d’exemplaires.
Ces repiquages défectueux se présentent sous les aspects les plus
divers ; fréquemment des cadres externes se prolongent dans les
marges jusqu’à toucher parfois le timbre voisin ; des cadres
internes se prolongent dans l’inter cadre jusqu’à rejoindre, couper
et dépasser même le cadre extérieur ; des lignes au point d’en
doubler ou tripler l’épaisseur normale ; des lignes de déviation,
échappées de burin dans le repiquage trait sur trait, se remarquent
dans les marges ou les inter cadres ; souvent à leurs extrémités,
épaissies ou au contraire effilées, les cadres s’infléchissent vers
l’extérieur ou dévient à l’extérieur provoquant une rupture de
jonction des coins ; bien fréquemment aussi, les deux cadres se
rapprochent ou s’écartent l’un de l’autre, rompant à tout moment
leur parallélisme de la gravure originale ; enfin une foule de
petites particularités dont plusieurs se conjuguent à la fois sur un
même timbre et dont la diversité constitue un élément de
différenciation de tout premier ordre.
En examinant le fond, nous voyons que les retouches y sont tout
aussi fréquentes !
Les parties sur lesquelles elles portent le plus souvent, sont les
coins. Dans les supérieurs, celui de droite surtout, les petits
traits horizontaux, compris entre les deux cadres internes et le
cercle entourant les chiffres de la valeur, sont presque toujours
refaits et forment avec les repiquages de ces même cadres et partie
de cercle, une retouche générale du coin qui notamment pour les
planches de 1861, constitue le moyen d’identification le plus
important. Quant aux coins inférieurs, les lignes de fond,
spécialement dans le 1 c. vert de 1861, offrent des aspects
différents dans presque tous les exemplaires.
RODU
( à suivre….
)
FLASH - JUNIOR
Voici maintenant quelques
thèmes à développer pour
l’élaboration d’une
collection .
THEMATIQUE … Le
Charbon ou l’or noir
Le charbon fut
utilisé comme combustible en Europe à partir du Ve siècle. On
l’obtenait par exploitation à ciel ouvert. L’exploitation des mines
se développa au XVIIIe siècle grâce à la révolution industrielle.
Les coups de grisou et le travail des enfants en sont le mauvais
côté. Malgré les progrès techniques en matière d’exploitation et
d’organisation, le travail minier demeura très pénible. Le charbon
n’était pas seulement un combustible, grâce aux développement de la
transformation, il devint aussi matière première, entre autres pour
la fabrication de gaz et de
goudron.
Plan
1 – Qu’est-ce que
le charbon
2 – Les gisements
3 – La mine de
charbon
3.1 –
L’infrastructure
3.2 -
Le personnel et l’équipement
3.3 – Le
matériel d’exploitation
4 – L’exploitation
souterraine
4.1 –
Manuelle
4.2 - Mécanique
4.3 –
Automatique
4.4 – Les
dangers
5 – Le travail en
surface
5.1 – Le
lavage
5.2 – Les
types de charbons
5.3 –
Production de déchets
6 – L’acheminement
vers le client
6.1 – Par
la route
6.2 – Par
bateau
6.3 –
Chargement et déchargement
7 – Possibilités
d’utilisation
7.1 –
Combustible
7.2 –
Production d’énergie
7.3 – Gaz
de ville
7.4 – Les
liaisons avec l’azote
7.5 –
Industrie chimique
8 – Promotion
comme combustible
8.1 – Pour
l’usage
8.2 – Selon
les sortes
9 – Les
organisations
9.1 –
Administration des mines
9.2 – Les
mineurs
9.3 –
L’économie
10 – Emblème
11 – La
célébration du mineur dans les mots et dans l’iconographie
Le Football
Le football est
un jeu de ballon entre deux équipes, opérant de préférence sur une
surface herbeuse, où un ballon rond en cuir doit être shooté ou
envoyé de la tête dans le but adverse. Le ballon ne peut
intentionnellement être touché par les mains ou les bras des joueurs
de champs. L’équipe victorieuse est celle qui inscrit le plus de
buts.
Plan
1.
– L’équipe – les joueurs
1.1 – Le
gardien de but
1.2 – Les
joueurs de champs
1.3 - L’équipement
2
- Le ballon
3
– Le terrain
3.1 – Surface
de but
3.2 – Surface
de réparation
3.3
– Le milieu de terrain
3.4 – Ligne de touche
4 – Le stade
4.1 – Le vrai stade
4.2 – Le stade de sports
5
- Les règles du jeu
5.1 – Les situations
5.2 – L’arbitrage
5.3 – International Board
6
- L’organisation
6.1 – La
Ligue Nationale de Football ( URBSFA)
6.2
- F.I.F.A.
6.3
- U.E.F.A
7
- La compétition
7.1 -
Sur le plan national
7.2 – Sur le plan européen
7.3 – Sur le plan mondial
7.4 – Les Jeux Olympiques
8
- L’apport social et commercial
8.1 –
Pronostics
8.2
-
Toto
8.3
- La publicité – les
sponsors
8.4
- Les résultats sportifs
8.5
- La presse sportive
En conclusion
Ce plan n’est certes pas l’Evangile, mais un guide pour le
collectionneur débutant et il donnera peut-être quelques tuyaux aux
collectionneurs plus avancés. Ce thème réclame moins une étude
préliminaire poussée qu’une recherche en profondeur du matériel
postal, afin de pouvoir insérer tout en bonne place. L’équilibre
entre les différentes subdivisions doit être un but à atteindre,
pour obtenir un montage logique.
La bicyclette
La
bicyclette est et reste le moyen de transport le plus pratique.
Depuis son apparition, il y a deux siècles, elle a joué un rôle
important. La bicyclette est conviviale et contribue à la santé du
pratiquant, elle ignore le déplacement en file et les arrêts dans le
trafic moderne. Elle fut à l’origine de la production en série et de
l’émancipation de la femme.
Depuis sa création, la bicyclette fut soumise à des changements
importants, des améliorations et des innovations.
Plan
1.
– De la trottinette au prototype du vélo actuel
1.1.– La trottinette
1.2.– Le célérifère
1.3.– Le vélocipède
1.4.– Le grand bi
1.5.– La bicyclette de sécurité
( vélo Rover )
1.6.– Le prototype ( vélo starley )
2.
– Eléments de base
2.1.– Le cadre
2.2.– Les roues
2.3.– Le pédalier
2.4.– La selle
2.5.– Le guidon
3.
– Toujours meilleur et plus sûr
3.1. – L’éclairage
3.2. – Protection contre l’eau et la saleté
3.3. – Les système de freins
3.4. – Le porte-bagages
4.
– Vers moins d’effort
4.1.– Le changement de vitesse
4.2.– Le moteur d’appoint
4.3.– Le tandem
5.
– Les modèles
5.1.– Vélo de dames
5.2.– Vélo d’homme
5.3.– Vélo d’enfant et de jeune
5.4.– La bicyclette repliable
6.
– L’usage personnel
6.1.- Pour et au travail
6.2.- Pour les commissions
6.3.- A l’école
6.4.- En randonnée
7.
– Adaptations professionnelles
7.1.- Le facteur
7.2.– La police
7.3.- Le transport de personnes
7.4.- Le triporteur
8.– Industrie et commerce
8.1.- Le professionnel
8.2.- Fabriques et marques
8.3.- Expositions
8.4.- Promotion
9.– Dispositions légales
9.1.- Règles de trafic
9.2.- Règles de sécurité
9.3.- Charges financières
On peut répartir l’histoire de la bicyclette dans tout le thème,
subdivision par subdivision, du fait de l’évolution continue de son
montage et de son usage.
Il faut en conséquence ouvrir l’œil en recherchant le matériel
postal.
Un conseil qui vaut de l’or : l’élaboration d’une mancoliste étendue
fournira l’information nécessaire sur ce qui peut ou non entrer dans
le montage de cette thématique.
Le Tennis
C’est un jeu de balle frappée, entre deux sportifs ou de deux
paires, disposés de chaque côté d’un terrain séparé en son milieu
par un filet tendu. Le Lawn-Tennis remonte au 19e siècle,
mais vient de jeux de balle frappée vieux de plusieurs siècles.
L’Angleterre en est le berceau, la forme moderne y fut introduite en
1873
Plan
1.- Jeu de balle frappée
1.1.– Qu’est-ce qu’un jeu de balle frappée ?
1.2.– Le tennis à l’origine
1.3.– Les éléments de base
2.- Le terrain de jeu
2.1. – Le court
2.2. – Le sol
2.3. – Les limites du terrain
2.4. – Le filet
3.- Les joueurs
3.1.- Messieurs
3.2.- Dames
3.3.- Leur tenue
4.- La raquette et la balle
4.1.- La raquette
4.2.- La balle
5.- La conduite du jeux
5.1.- L’arbitre de chaise
5.2.- Les juges de ligne
5.3.- L’œil électronique
6.- Les parties
6.1.- Simple
6.2.- Double
6.3.- Double mixte
7.- Les phases de jeu
7.1.- Service
7.2.- Coup droit
7.3.- Revers
7.4.- Ace
8.- Les modalités de jeu
8.1.- Sur court ouvert
8.2.- Sur court couvert
8.3.- Dans un complexe sportif
9.- Les compétitions et tournois
9.1.- Individuels
9.2.- Entre pays
10.- Les organisations, les clubs
11.- Aspects commerciaux
12.- Les figures dominantes
EMISSIONS ILLEGALES
Afghanistan – Circulaire de l’UPU n°
2 du 13 janvier 2003
L’administration postale de l’ Etat islamique de transition en
Afghanistan s’inquiète de la recrudescence d’émissions émises
illégalement en son nom. Toutes ces séries, décrites ci-dessous, ne
peuvent être considérées comme moyens d’affranchissement et comme
objet de collection. Ces feuillets portent la mention Afghanistan
sauf avis contraire. Ils sont tous millésimés de l’année 2000 sauf
ceux signalés par une * ( millésime non communiqué ).
Faune
et flore
q
Chevaux : 2 feuillets de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30, 35,
40, 45 et 50.000 AFA
q
Aigles : 1
feuillet* de 9 timbres ( mention Afghan Post )
q
Chats : 2
feuillets de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30, 35, 40, 45 et 50.000
AFA et 1 feuillet* de 9 timbres à 3.000 AFA ( mention Afghan Post )
q
Chiens : 2
feuillets de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30, 35, 40, 45 et 50.000
AFA et 1 feuillet* de 9 timbres à 1.000 AFA ( mention Afghan Post )
q
Animaux endémiques : 1 feuillet* de 9 timbres à 500 AFA (
mention Afghan Post )
q
Dinosaures : 1 feuillet de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30,
35, 40, 45 et 50.000 AFA et
2 feuillets de 9 timbres à 10.000 et 20.000 AFA
q
Hiboux : 2
feuillets* de 6 timbres à 10.000 et 20.000 AFA et 1 feuillet* de 9
timbres ( mention Afghan Post )
q
Oiseaux de proie : 1 feuillet de 9 timbres à 20.000 AFA et 2
bf* à 100.000 AFA
q
Oiseaux divers : 2 feuillets de 9 timbres à 10, 15, 20, 25,
30, 35, 40, 45 et 50.000 AFA
q
Coléoptères : 1 feuillet de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30,
35, 40, 45 et 50.000 AFA
q
Poissons : 1 feuillet de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30, 35,
40, 45 et 50.000 AFA
q
Plantes diverses : 1 feuillet de 9 timbres à 10, 15, 20, 25,
30, 35, 40, 45 et 50.000 AFA
q
Orchidées : 1 bf ( mention Afghan Post )
Moyens de transports
q
Bateaux : 2 feuillets de 9 timbres à 10, 15, 20, 25, 30, 35,
40, 45 et 50.000 AFA
q
Anciens véhicules : 3 feuillets de 9 timbres à 20.000, 40.000
et 50.000 AFA
q
Trains anglais : 1 feuillet de 9 timbres à 10, 15, 20, 25,
30, 35, 40, 45 et 50.000 AFA
q
Trains : 2 bf* d’un timbre à 100.000 AFA
Peinture
q
Henri Matisse :
1 feuillet* de 6 timbres à 20.000 Afa et 1 bf à 100.000 AFA
q
Toulouse Lautrec : 1 feuillet* de 6 timbres à 30.000 Afa et 1
bf à 100.000 AFA
q
Vincent Van Gogh : 1 feuillet* de 6 timbres à 50.000 Afa et 1
bf à 100.000 AFA
362.12
Personnalités
q
Ben Laden : 1 feuillet millésimé 2001 de plusieurs timbres à
100.000 AFA
q
En mémoire de Lady Diana : 1 feuillet* de 9 timbres ( mention
Afghan Post )
q
Elvis Presley : 3 feuillets de 9 timbres à 20.000, 40.000 et
50.000 AFA
q
Marilyn Monroe : 3 feuillets de 9 timbres à 20.000, 40.000 et
50.000 AFA et 1 bf de 4 timbres
q
Mère Térésa et Jean-Paul II : 2 feuillet* de 6 timbres à
50.000 AFA et 1 feuillet* de 6 timbres à 100.000 AFA
q
Personnalités du XXe siècle : 1 feuillet* de 9 timbres (
mention Afghan Post )
Sports
q
Mondial 2002 : 2 bf* d’un timbre à 100.000 AFA
q
Coureurs automobiles : 4 feuillets de 9 timbres à 10, 20, 40
et 50.000 AFA
Divers
q
Echecs : 3 feuillets de 9 timbres à 20, 40 et 50.000 AFA
q
Affiches cinématographiques et sportives : 1 feuillet de 9
timbres à 50.000 AFA
NDLR.
Nous vous invitons à éviter d’acheter de telles émissions qui sont
de pures arnaques et qui ne sont pas faites pour améliorer la
philatélie.
PETITES ANNONCES
53/362 - Notre membre cherche
VATICAN, n° 998/999 – 1119/1120 + carnet – 1121/1126 – 1181/1184 -
1185/1193 – BF 22 + 4 t.p. sortis le 9.5.2000. Faire offres à W.
Cloquet, tél. 02 384 70 63.
1135/362 - Recherche timbres
de CHINE
avant
République Populaire ( Empire et République ) de 1878 à 1949 y
compris les Postes Locales. Bloc 2001 réf. PJZ 13 ( document
surchargé ), série n° 3937 à 3942 en 2 blocs.
- Recherche ‘’ Idée Européenne ‘’ suivant :
Pays-Bas n° 1677 – Finlande 2 BF de 4 timbres à 3,50 de
l’année 2000, carnet C.1469 – Guernesey n° 890/893 – Man 971/972.
Faire offres à R. Bosse, tél. 02 385 07 52
0/362
- Le C.P.B. recherche pour compléter sa collection d’histoire
postale sur la poste à Braine-l’Alleud les sujets suivants :
1)
carte postale déposée à la boite aux lettres du Lion avant 1921 avec
cachet trefle, ou éventuellement une copie de la note de service de
la poste autorisant la mise en service de ce timbre à date. Cette
boite était levée et dépendait du bureau de Braine- l’Alleud.
2)
plis déboursé de ‘’ Braine-l’Alleud ‘’
Les articles ci-dessus peuvent
être reproduits avec mention de la source et avis favorable du
Club Philatélique Brainois. Envoyer une copie de la publication
au président.